Une collection de serrures, clefs, clous, heurtoirs anciens

d Qui êtes-vous Monsieur J.A.S., pourriez-vous vous présenter ?

J.A.S. : Je suis un chef d’entreprise aujourd’hui âgé, un homme d’affaires. A partir de 1946, j’ai fabriqué et vendu en Europe des meubles de qualité, en particulier du mobilier en noyer et chêne massif de style espagnol. Mon activité professionnelle fut donc liée aux arts décoratifs et ma formation initiale en mécanique industrielle a développé cet intérêt pour le travail manuel pratiqué autrefois.

Durant mon adolescence à la fin des années 30, je me suis passionné pour les arts et les objets anciens, sans doute influencé par mon grand-père maternel qui était un antiquaire renommé, une activité que j’ai poursuivie. Mon appétit de collectionneur s’est exercé dans d’autres domaines que celui de la serrurerie et de la ferronnerie anciennes. J’ai collectionné les armes, les cartes postales et les photographies, l’outillage ancien, les monnaies, les horloges, les bronzes, etc. Mais mon principal centre d’intérêt se porta très tôt sur la ferronnerie et la serrurerie, à une époque où les pièces de qualité apparaissaient assez souvent sur le marché.

Je ne vous apprendrai rien en vous disant que je suis toujours fasciné par la beauté du fer. Pour en exprimer le charme, qu’il me soit permis de citer ici la très belle prose poétique de la Conservatrice de musée, Catherine Vaudour : «Le fer est le matériau de tous les contrastes. A l’opposé du cuivre et de l’or dont la couleur évoque le soleil, donc la lumière, c’est-à-dire le jour et la vie, le fer est l’élément de l’ombre, qui renvoie à la nuit, à l’absence et à la mort. L’ombre cependant n’est qu’une transition, entre la lumière et les ténèbres, entre le cosmos et le chaos. De la même façon, le fer, dans sa noirceur naturelle, n’est pas obscur. Il accroche la lumière en de subtils reflets, au creux de ses aspérités. Lisse et poli, il devient aussi vif que l’argent et peut prétendre à la somptuosité des métaux précieux. Toutes les nuances de ce matériau peuvent être mises en valeur par son façonnage. La beauté de ses gris n’est pas inférieure à celle de l’or. C’est opposé à la lumière que le fer exprime le mieux ses jeux d’ombres contrastées. Les grilles servent à clore ou faire passer le jour ; les balcons, de l’intérieur, dessinent leurs entrelacements noirs sur fonds de paysages ; les clôtures révèlent dans les chapelles absidiales les trésors d’orfèvrerie qu’elles protègent ; les enseignes à contre-jour sur fond de ciel sont autant de calligraphies à claire-voie dans lesquelles le clair et l’obscur dialoguent»(1)…

d Quel est le contenu de votre musée ? Comment se présente-t-il ?

J.A.S. : Il s’agit d’un ensemble de plus de 4500 pièces anciennes en fer forgé, couvrant une période de huit siècles. J’ai rassemblé ces objets-témoins de notre civilisation, que des forgerons, des artistes restés le plus souvent anonymes, ont  confectionnés avec un talent, une énergie tout à fait hors du commun, lorsque l’on connaît les moyens dérisoires dont ils disposaient. La fabrication d’une serrure de coffre ou de bargueño, d’une série de barreaux de balcons exigeait un temps de travail considérable, dans des conditions très rudes.

Objets civils domestiques mais surtout serrures et clefs, clous de portes, heurtoirs, pentures, loquets, targettes, barreaux, etc. tout ce qui fait référence à la porte de maison ou de meuble, à l’acte d’habiter est chargé de culture, de symboles, voire de poésie. Leur patine, leur usure, le grincement ou le claquement d’un ressort… ces objets nous parlent, ce sont nos ancêtres qui s’adressent à nous par leur intermédiaire. Ils ont certes une fonction technique, mais sont aussi les signes d’un statut social, un signe extérieur de richesse ou de pouvoir, le reflet d’une époque, qu’elle soit romane, gothique, baroque, renaissance, ou encore platéresque.

Dans leurs infinies variations, ils sont la marque tangible d’un savoir-faire, d’un effort séculaire, mais aussi de ce qui caractérise l’être humain : notre désir de créer du beau, de l’art. Lorsqu’ils sont entrés en fonction lors de leur pose sur une porte ou une façade, ce fut l’aboutissement d’une longue et laborieuse chaîne de fabrication qui débute avec l’extraction du minerai de fer et engage plusieurs métiers. La puissance créatrice des ferronniers se déploie, structurée sur des contraintes techniques et nourrie par la culture de leur temps. Le forgeron qui conjugue les quatre éléments, fer, feu, air, eau dans la fournaise de sa forge, dompte les énergies primordiales. Rien d’étonnant que cette alchimie en fasse un personnage de légende doué de puissance physique et crédité de pouvoirs occultes, en lien avec les dieux !

Il y a une quinzaine d’années, j’ai rassemblé toutes ces pièces sur des panneaux facilement transportables, installés dans une dizaine de salles d’une maison de maître, celle de mes ancêtres maternels. Le tout est facilement démontable afin d’être déplacé et présenté en un autre lieu.

d Quand et comment avez-vous constitué cette collection ?

J.A.S. : Elle représente une quête infinie durant plus de soixante dix ans et provient pour l’essentiel de la Péninsule ibérique mais aussi de France. Cela a nécessité une grande constance, beaucoup d’efforts, d’émotions, des milliers de kilomètres parcourus, des moyens financiers importants bien entendu, l’acquisition d’une culture du fer forgé, de grandes joies, des déceptions parfois, comme dans toute entreprise humaine ; mais d’abord un grand désir inépuisable, celui de présenter un panorama le plus complet possible dans ce domaine. Peu à peu, beaucoup connaissaient ma passion et me proposaient de la ferronnerie ancienne d’une qualité remarquable et que je n’aurais pu acquérir dans d’autres conditions.

Toutes les pièces que je présente, à l’origine n’étaient évidemment pas dans l’état de conservation où vous les voyez. Certaines étaient recouvertes de rouille, dégradées, cassées ou usées. Toutes ont été patiemment remises en état en les respectant, en reprenant leur logique de fabrication originelle, le savoir-faire de l’homme de l’art auteur de l’objet.

d Question difficile pour tout collectionneur, quel est l’avenir de votre trésor ?

J.A.S. : Dans la vie humaine, tout a une fin. Celui qui possède, à plus forte raison une immense collection, ne doit jamais oublier que «nu il est sorti du ventre maternel, nu il entrera dans le linceul». Il faut savoir se détacher des choses que l’on a beaucoup aimées. Après le temps de la collecte et de la sauvegarde du patrimoine qui réservent tant de joies, arrive une nouvelle étape, celle de la transmission. Aidé par mes enfants qui ont d’autres centres d’intérêt, j’envisage de me défaire de ce musée, aujourd’hui ou demain, en toute sérénité. Je préfèrerai qu’il reste le plus complet possible, plutôt que d’être dispersé : qu’il demeure peut-être entre les mains d’une institution détenant un patrimoine important autour du fer ou d’un particulier ayant les moyens de le pérenniser.

Comme dit le poète: «El pan que da el trabajo es mas sabroso

                                   Que la escondida miel que con empeño

                                   Liba la abeja en el lugar frondoso ;

                                   Si comes ese pan seràs tu dueño,

                                   Màs si del ocio ruedas al abismo,

Todo lo podràs ser menos tu mismo».

(1) Catalogue de l’exposition Forge et Forgerons, jeux d’ombres et de lumière, Musée archéologique du Val d’Oise, 2007-2008, Editions du Valhermeil, 64 p.

Les travaux de Michèle Pellet

n Auteur de nombreux ouvrages consacrés à la ferronnerie ancienne (balcons, marteaux de portes, chandeliers, impostes, enseignes, rampes, etc.), elle collabore avec le Musée de Rouen Le Secq des Tournelles, ainsi qu’à la revue professionnelle Fèvres, magazine de l’artisanat des métaux publié par l’IFRAM, pôle national d’innovation pour les artisanats de métaux. La plupart de ses ouvrages paraissent en auto-édition dans la collection Fer et Styles à Lyon (31 livrets), initiée par Philippe Faure, autre grand spécialiste en ferronnerie européenne et dont elle poursuit l’oeuvre remarquable.

Les travaux réalisés ou diffusés par Michèle Pellet se présentent comme des livrets de plusieurs dizaines de pages au format A4. Sur des planches dessinées et manuscrites, sont décrits l'histoire, la mise en oeuvre et les modes d'assemblages de ferronneries de l’Hexagone. Chaque objet est présenté chronologiquement et daté si possible. Il est dessiné de la vue globale aux détails les plus caractéristiques permettant d’expliquer les lois esthétiques, les apports techniques en usage pour cette pièce, etc.

Vous pouvez vous procurer les ouvrages de la collection Fer et styles à l’adresse suivante : Michèle Pellet, 103 rue Jean Fournier, 69009 Lyon. Tél : 04.72.17.77.52. Port : 06.87.54.65.41

Philippe Faure

d Pentures romanes 1, étude des ferrures sur les portes romanes dans les départements 03, 15, 19, 23, 36, 43, 46, 63, 87, 21 planches, 452 dessins, 22 e.

d Pentures romanes 2, étude des ferrures sur les portes romanes dans les départements 49, 66, 67, 71, 89, 19 planches, 356 dessins, 21 e.

d Pentures gothiques 1, études des ferrures sur les portes gothiques dans les départements 02, 14, 50, 51, 52, 60, 67, 68, 75, 76, 77, 78, 88, 89, 22 planches, 462 dessins, 23 e.

d Pentures gothiques 2, études des ferrures sur les portes gothiques dans les départements 03, 15, 12, 13, 15, 19, 33, 58, 63, 66, 87, 23 planches, 515 dessins, 24 e.

d Les rampes de 1465 à 1666, étude historique, esthétique et technique de la rampe, du gothique à l’avènement de Louis XIV, 17 planches, 224 dessins, 21 e.

dLes rampes, étude de la rampe, ses structures, sa composition et ses motifs sous Louis XIV de 1666 à 1715, 20 planches, 279 dessins, 21 e.

dLes rampes de 1715 à 1760, le règne de Louis XV apporte un concept décoratif léger et équilibré, 20 planches, 287 dessins, 21 e.

dLes rampes de 1760 à 1775, la longueur du règne de Louis XV amène un retour au classissisme, 20 planches, 259 dessins, 21 e.

dLes rampes de 1775 à 1793 sous Louis XVI, préfigurent la révolution stylistique du XIXe, 23 planches, 264 dessins, 24 e.

dPetites portes gothiques au XIVe et XVe siècle (1492-1615), petites portes pour les «armoires» et pour les ancêtres de nos tabernacles dans les départements 01, 54, 55, 57, 59, 61, 67, 68, 70, 71, 75, 88, 26 planches, 234 dessins,  27 e.

dPetites portes gothiques au XVIe siècle, petites portes pour les «armoires» et pour les ancêtres de nos tabernacles dans les départements 01, 03, 08, 13, 21, 51, 54, 58, 59, 67, 68, 75, 76, 88, 27 planches, 255 dessins, 28 e.

dDéfenses de fenêtres romanes et gothiques dans les départements 03, 05, 07, 09, 12, 13, 21, 22, 26, 34, 38, 39, 44, 56, 57, 66, 71, 73, 76, 77, 80, 84, 25 planches, 366 dessins, 25 e.

dDéfenses de fenêtres de la Renaissance tome 1,  dans les départements 01, 03, 06, 07, 10, 19, 21, 22, 23, 25, 29, 31, 37, 38, 39, 42, 43, 50, 52, 54, 23 planches, 378 dessins, 24 e.

dDéfenses de fenêtres de la Renaissance tome 2,  dans les départements 55, 56, 57, 60, 63, 64, 66, 67, 68, 69, 70, 71, 72, 76, 84, 88, 89, 23 planches, 384 dessins, 24 e.

dLe balcon de 1492 à 1666, dès son origine le balcon est tributaire de l’architecture et fonctionne avec les mêmes lois, 23 planches, 305 dessins, 24 e.

dLe balcon de 1666 à 1715, la création, le style sous Louis XIV, 24 planches, 384 dessins, 26 e.

dLe balcon de 1715 à 1742, évolution du balcon entre les styles Louis XIV et Louis XV, 30 planches, 346 dessins, 30 e.

Michèle Pellet

dLe marteau de porte, son évolution du roman à Louis XIII, 31 planches, 314 dessins, 32 euros.

dLe balcon de 1743 à 1760, étude du balcon Louis XV, structure, composition, motifs de 1743 à 1760, 29 planches, 376 dessins, 31,50 e.

dEtude des grilles romanes et gothiques des les départements 03, 12, 13, 21, 27, 31, 32, 43, 51, 60, 63, 66, 75, 76, 87, 91, 30 planches, 289 dessins, 32 e.

dLes chandeliers du roman au XIXe, première approche sur le sujet dans les départements 09, 11, 19, 22, 52, 54, 60, 66, 75, 76, 26 planches, 396 dessins, 31 e.

dImpostes et oculi, un pannel de 78 impostes du roman à Louis XIV dans les départements 04, 05, 06, 07, 19, 21, 25, 31, 34, 35, 38, 39, 43, 46, 56, 60, 63, 67, 69, 71, 73, 74, 75, 76, 78, 83, 29 planches, 457 dessins, 32 e.

dCroix en fer du gothique à 1666, la croix de chemin s’exprime comme pour les autres objets en fer à l’aide d’art et de relations entre les styles, 21 planches, 297 dessins, 22 e.

dCroix en fer de 1792 à 1815, que devient la croix après le séisme de la Révolution, reprise en main de la population par le clergé, 23 planches, 343 dessins, 24 e.

dCroix en fer de 1815 à 1820, 32 planches, 552 dessins, 32 e.

dCroix en fer de 1821 à 1824 dans les départements 09, 11, 19, 24, 32, 34, 39, 40, 42, 43, 44, 46, 47, 48, 69, 71, 73, 77, 89, 31 planches, 458 dessins, 31,50 e.

dEnseigne de maréchal-ferrant 1, étude des enseignes de maréchaux-ferrants dans les départements 01, 03, 05, 09, 10, 16, 21, 26, 32, 34, 37, 26 planches, 535 dessins, 27 e.

dEnseigne de maréchal-ferrant 2, étude des enseignes de maréchaux-ferrants dans les départements 42, 44, 46, 48, 60, 63, 66, 67, 69, 71, 77, 84, 89, 27 planches, 524 dessins, 28 e.

dEnseigne de maréchal-ferrant 3, étude des enseignes de maréchaux-ferrants dans les départements 13, 17, 25, 39, 68, 70, 84, 90, 24 planches, 436 dessins, 29 e.

dLes puits du gothique à 1715, étude du puits, ses structures, sa composition dans les départements 01, 03, 10, 21, 31, 34, 39, 44, 51, 54, 69, 71, 76, 77, 84, 30 planches, 456 dessins, 32 e.

dLes portes de 1905 à 1910, évolution graphique de la porte en fer dans les départements 33, 45, 54, 67, 75, 76, 24 e.

dLes portes de 1910 à 1920, en préparation.

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                   Ë  ou BAd :  Bibliothèque des Arts décoratifs à Paris

                    PF : Ouvrage indiqué dans la bibliographie de Philippe Faure, Fer d’art roman de 1000 à 1250, CRDP, Dijon. Manque de précision sur l’éditeur, le nombre de pages, parfois erreurs orthographiques. L’auteur indique parfois les cotes des ouvrages dans les bibliothèques.

BN : Bibliothèque nationale.

BA : Bibliothèque des Beaux-Arts.

Cette bibliographie doit beaucoup au remarquable travail de Mme Marie-France Lacoue-Labarthe L’art du fer forgé en pays bordelais de Louis XIV à la Révolution, Société archéologique de Bordeaux, 367 p. 1993.

Agnel, Barberot, Coularou, Delage, Ducastel et Gaveau : Traité de serrurerie et construction en fer par un comité d’ingénieurs, constructeurs, etc. Moreau, Paris 1900. PF

Ø Agricola Georgius : De re metallica, Gérard Klopp éditeur, 558 p. 1992. Libri XII, 1556.

l A la recherche du métal perdu, les nouvelles technologies dans la restauration des métaux archéologiques (ouvrage collectif), Editions Errances, 180 F

Albert L. S., Kent K. : The complete Button book, Londres, 1949.

Alcolea S.: Hierros forjados en artes decorativas de la España cristiana, Ars Hispaniae, vol XX, Madrid 1975.

Allemagne Henry Réné (d’) : Les anciens maîtres serruriers et leurs meilleurs travaux, 2 vol., Paris, Gründ, 1943.

Allemagne Henry René (d’) : La Serrurerie ancienne, Saint-Cloud, 1902.

Allemagne Henry Réné (d)’,  Paulme (H.) : Le musée de ferronneries Le Secq des Tournelles Tour St-Laurent à Rouen, Paris, H. Laurens, 1928.

Ë Allemagne Henry René (d’) : Musée Le Secq des Tournelles à Rouen. Ferronnerie ancienne, 1^e partie serrurerie monumentale, 2^e partie Menus ouvrages en fer et en acier, Paris, J. Schemit, 1924, 2 vol., 4°, T 898. Repris dans Decorative antique ironwork, a pictural treasury, New York, 1968.

Allemagne Henry René (d’) : Histoire du luminaire depuis l’époque romaine jusqu’au XIXe siècle, Paris, A. Picard, 1891.

Ë Allemagne Henry René (d’) : La serrurerie ancienne à l’exposition universelle de 1900, extrait de Rapport général de M. P. Larrivière, Paris Belin frères, 1902, 80 p., 33 cm, 52 f. de planches, HY 503

Ë Allemagne Henry René (d’) : Le fer forgé à l’exposition des arts décoratifs et industriels modernes de Paris, 1925, Paris, 32 p. fig. 8°, extrait du Bulletin de la Société d’encouragement pour l’industrie nationale, HY 518, UU 67

Allemagne Henry René (d’) : Les accessoires du costume et du mobilier, depuis le XIIe siècle jusqu’au milieu du XIXe siècle, Paris, J. Schemitt, 1928, 3 volumes.

Allemagne Henry René (d’) : La maison d’un vieux collectionneur, Paris Gründ, 1948, 2 tomes.

Ø Allemagne Henry René (d’): Decorative antique ironwork a pictural treasury, Dover publications INC, 414 p. 1968.

Alteneck-Hafner J. H.: Eisenwerke Frankfures oder ornamente der Schmiedeskunst des Mittelalters und der Renaissance. Francoforte sul M, 1885.

Ammat (L.K.):  Locks and Lock Making, Londres, 1973.

Ø Almuina Joaquin : Antigua industria del hierro, coleccion Temas vizcainos, 55 p. 1975.

Almuina J : Contribucion de la Real Sociedad Vascongada al progreso de la siderurgia española a fines del siglo XVIII (1771-1793), Instituto del hierro, Madrid, 1951.

Amat L. K.: Locks and lockmaking, Londres, 1973.

Ambonati Jacques: La ferronnerie d’art en France à travers les siècles, Editions Art et Métal, 25 planches.

n Amis du vieux Guérigny : Rencontres d’histoire de la métallurgie, colloque de La Chaussède, 1992, Nièvres. Jean Berhieu, rue de l’Union, 58130 Guérigny Tél : 03 86 37 00 16. Revue Le Marteau pilon.

Amys du Vieux Dieppe : Ferronneries dieppoises d’hier et d’aujourd’hui, vieux balcons, appuis de fenêtre, rampes d'escalier, grilles, etc. (XVIIIe-XXe), Ed. Les Amys du vieux Dieppe, 254 p. 2006.

Ø Andrieux Jean Yves : Les travailleurs du fer, Découvertes Gallimard Sciences et techniques, 176 p, 1991.

Androuet du Cerceau Jacques : Modèles de serrurerie, s. d., XVIe siècle. Architecte et décorateur protestant d’origine orléanaise, il publie entre 1559 et 1579, ses recueils d’ornemaniste sont édités vers 1565. 21 pièces : clefs, écussons, targettes, potences. BA, BN, Bad.

q Angel Michel : Mines et fonderies au XVI^e d’après le De re metallica d’Agricola, Les Belles Lettres Total, 1989, 396 p. 669 ANG M

q Anonyme : La forge, maréchaux-ferrants, C. de M., Paris 1995, 17 p., 682 FOR

Anthony Gérard : 2000 ans d’appui, du maenianum au balcon, Editions Vial, 296 p. 2003.

Ë Anselmi Mina : I ferri battuti di Vicenza, 1962, BC 32/9

Antonie G. : Le serrurier parisien. Bureau des publications, Paris. PF

Ø Arana Inaki : Burdina, errementariak eta perratzaileak, Bergarako udala, 162 p. 2003.

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Ø Ì Arbide Elorza : Ferrerias de Legazpi, Ediciones de la Caja de Ahorros provincial de Gipuzkoa, 262 p. 1980.

Ø Archéo civilisation nouvelle série 1^ère année, N° 1 et 2 janvier avril 1966, questionnaire sur la forge de village, par la société française des historiens locaux, article de une page.

Ares José Antonio : Techniques du fer forgé, Editions Eyrolles, 2008, Collection Le geste et l'outil. Techniques du fer forgé apprend d'abord à choisir ses matériaux et montre comment manipuler et entretenir ses outils. Puis il explique pas à pas les techniques de base - cintrage, découpe, perçage, traitements thermiques, soudage - et les savoir-faire traditionnels comme le torsadage et le poinçonnage qui sont indispensables à la maîtrise de ce métier. Le néophyte découvrira ensuite avec intérêt les nouveaux procédés ouverts par la technologie actuelle : outillage manuel électrique, découpe au plasma, soudage oxy-gaz... Pour acquérir ces gestes fondamentaux, l'auteur propose dix belles réalisations pas à pas : dessous-de-plat, poignée de porte, pince à bois, grille aux gracieuses volutes, photophore mural, portemanteau, tabouret tricycle, girouette, sculpture monumentale. Chacun de ces objets permet d'expérimenter une technique différente : forgeage à froid pour le dessous-de-plat, torsadage à chaud pour la grille, découpe au plasma pour le photophore... En fin d'ouvrage, une galerie présente un panorama de ferronneries, pièces anciennes et créations contemporaines.

Archives historiques du compagnonnage, Paris, Musée des Arts et traditions populaires, dans Mémoires de la Fédération folklorique d’Ile de France, Paris, V, 1956.

Ares José Antonio : Techniques du fer forgé, Eyrolles, 144 p. 2008.

Ø Areu Montserrat et Comas Fransec : La forja, Rafael Dalmau editor, 1987, 110 p.

n Armengaud André : La fin d’une industrie rurale, les forges catalanes en Ariège au XIXè siècle, dans Communautés du sud, UGE, 1975 Paris.

Ø Arminjon Catherine, Bilimoff Michèle : L’art du métal, vocabulaire technique, Edition du patrimoine, 366 p. 1998.

Arminjon C. : Le fer forgé dans les hôtels du Marais, dans Le Marais mythe et réalité, Paris CNMM, 1987.

Arminjon Catherine : L’art à votre porte, dans Connaissance des Arts n° 99, 1960, p. 109-115.

Armonville J. R. : La clef de l’industrie et des sciences qui se rattachent aux arts industriels, Paris, 1825.

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Ø L‘art du fer en Europe du XV^è à 1840, collections publiques et privées de Poitou-Charente, Musée de Niort 1984-1985, 100 p.

m L’art du serrurier, éditions du Patrimoine 2000, Centre des Monuments nationaux, Hôtel de Sully, 62 rue Saint Antoine 75004 Paris, Tél 01 44 61 21 50. (noms de collectionneurs) 31 p. exposition à Fougères sur Bièvres, CE 199 95 sur place.

Les Arts du fer en Lorraine, Centre culturel des Prémontrés, Pont-à-Mousson, 1980.

Ë Artiñano y Galdacano Pedro Miguel : Exposicion de hierros antigos espanoles, sociedad espanola de amigos del arte, Madrid, 1919, XI-80 p., HY 502

l L’artisan au village dans l’Europe médiévale et moderne, Actes des journées internationales d’histoire de l’Abbaye de Fleurus, Presses Universitaires du Mirail.

Artisan pratique : L’art de repousser les métaux, étain, cuivre, argent, Librairie de l’Artisan Pratique, Paris, 1921. Réédité par Editions Emotions Primitives, 90 p. 2010.

Artisans strasbourgeois du métal au XVIIIe siècle, catalogue d’exposition à Strasbourg, palais Rohan, 1978.

Art Nouveau Belgium France, catalogue, Rice University ant Art institute of Chicago, 1976.

Aryton M., Silcock A. : Wrought Iron and its decorative uses, Londres-New York, 1929.

Aspects du métier de serrurier, Châlon-sur-Saône, Musée Denon, catalogue d’exposition, 1976.
n Association pour la sauvegarde de la forge de Savignac Ledrier (24270)

Aubry L. : La ferronnerie à l’époque 1900. PF

Ø Aumont Annette, Lamord Albert France, Roussel Francis : Les arts du fer en Lorraine, catalogue d’exposition, 80 p. 1980.

q Autheville (P. d’) et Fromond (P.) : Précis de maréchalerie, Méloine 1976, 318 p. figures Photos. 682 AUT M

Aviler Augustin-Charles d’ : Cours d’architecture… avec une ample explication… de tous les termes. Paris, N. Langlois, 1691, BN.

Avril René d’ : Les conquêtes pacifiques du fer, la ferronnerie et le maître Edgar Brandt, dans l’Illustration, 1925.

Ayerbe Iribar Rosa et Diez de Salazar Fernandez Luis : Ferreria y molinos de Agorregi (Agorria), historia de la ferreria, p. 17-46, dans Urteaga Mercedes et M. del Mar Lopez Colom : Agorreko burdinola eta errotak, Aia, Gipuzkoa, Zaharberritze baten historia, Gipuzkoako Foru Aldundia, 2000.

Ayrton, M. Y. Sylcock A. : Wrought iron and its decorative use, Londres, 1929.

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                   Ì   Euskal Herria

                   Ë  ou BAd :  Bibliothèque des Arts décoratifs à Paris

                    PF : Ouvrage indiqué dans la bibliographie de Philippe Faure, Fer d’art roman de 1000 à 1250, CRDP, Dijon. Manque de précision sur l’éditeur, le nombre de pages, parfois erreurs orthographiques. L’auteur indique parfois les cotes des ouvrages dans les bibliothèques.

BN : Bibliothèque nationale.

BA : Bibliothèque des Beaux-Arts.

Cette bibliographie doit beaucoup au remarquable travail de Mme Marie-France Lacoue-Labarthe L’art du fer forgé en pays bordelais de Louis XIV à la Révolution, Société archéologique de Bordeaux, 367 p. 1993.

Boch Hans : Deutsche Schmiedarbeiten aus Fünf Jarhunderten, Leipzig, 1920.

l Boileau Etienne : Réglemens sur les arts et métiers de Paris, rédigées au XIIIè siècle et connu sous le nom du Livre des métiers de Boileau publié par G. P. Depping, Paris, Crapelet, 1837

Boileau Etienne : Les métiers et corporations de la ville de Paris, XIIIe siècle, le livre des métiers d’Etienne Boileau, publié par René de Lespinasse et François Bounardot, Paris, Bibliothèque Nationale, 1879, in folio 423 p. Consulté à Forney.

Bongrain Gilles : Le Damas ou l’art du feu et de l’acier, Editions Crépin-Leblond, 192 p. 2003.

Bonhomme : Livre de différents balcons, Paris, chez Crépy, 1775, six pièces. Premier, deuxième et troisième cahiers de serrurerie inv. et dess. par B. en 1777. Trois suites de six pièces, cité par D. Guilmard. Anciennement, coll. Foulc. Bonhomme est maître serrurier à paris en 1775.

l Bonhote Jérôme : Forges à la catalane et évolution forestière dans les Pyrénées de la Haute Ariège, thèse à Toulouse en 1993.

Bonhote Jérôme : Forge et forêts dans les Pyrénées ariégeoises, Ed. Pyrégraph, Toulouse, 1997.

Ø Bonhote Jérôme et Jean Cantelaube : Forge et forgeurs de l’Ariège au XIX^è siècle, Conseil général de l’Ariège, Archives départementales Foix, 48 p. 1988.

Bonhotte J. et Cantelaube J. : La forêt charbonnée, histoire de forêts et impact de la métallurgie dans les Pyrénées ariégeoises au cours des deux derniers millénaires, Programme Piren, rapport final dactylogr., CNRS, Toulouse, 1991.

Bonhotte J. et Cantelaube J. et Drillaud P. : Inventaire des vestiges de la métallurgie catalane ariégeoise au XIXe siècle, étude d’archéologie industrielle, DRAC, Service régional de l’Inventaire Midi-Pyrénées, 1985-1987.

Bonnafé Edmond : Le musée Spitzer, Paris 1890.

Bonnaventure : Serrurerie artistique en fer plein, demi-rond, plein et élégi, Arras, sd. PF

l Bonnot : Vérificateur de serrurerie. Détail général des fers, fontes, serrures, ferrures et clouterie à l’usage des bâtimens, avec les tarifs des prix, Paris, B. Morin, 1782.

Ø Borali Roberto : La antiche chiavi, tecnica, arte, simbologia, Bergamo Burgo editore, 240 p.1993 m Bordeaux Raymond : serrurerie au Moyen-âge, les ferrures de porte, Oxford Parker, 1858, in 4°, 130 p., 40 pl. C 244 aux Arts déco.

Bordeaux Arts Déco, catalogue d’exposition du Musée des Arts décoratifs de Bordeaux, 1979.

Bordeaux Raymond : Serrurerie du moyen-âge, les ferrures de portes, dessins d’Henri Gerente et G. Bault, Aubry, Paris & Oxford Parker, 1858. PF

Borderel et Robert : La ferronnerie et l’histoire de l’art, 1920-25. PF

Borderel et Robert : Ferronnerie d’art, Office des Editions d’art, Paris, 1928.  PF

Ë Borias Georges Antoine : Vieux balcons dieppois, la ferronnerie à Dieppe au XVII^e, relevés de balcons et d’appuis de fenêtres de fer forgé, Préf. de L. Hourticq, Les amis du vieux Dieppe, 1941, Br 11583

Bory Paul (Brunet P. pseudonyme : Le roi des métaux, Tour, Mame et fils, 1884.

Bosch J. M., Codina O. et Villa A.:  Hipotesis i reflexions sobre la produccio de ferro als Pireneus. Segles XVII-XIX. De la farga del Puntal (1619-1636 ?) a la Farga Rossell (1842-1876), dans Actes del 2 Congrés Internacional d’Historia dels Pireneus del’11 al 14 de novembre de 1998, Girona, 1998.

Ø Botterman Joseph : Supplément à l’art du serrurier ou essai sur les combinaisons mécaniques empoyées particulièrement pour produire l’effet des meilleures serrures ordinaires 1781, Slatkine reprints, Genève 1984. Ouvrage attribué à Lous XVI

Bouchard-Huzard L. : Exposition publique des produits de l’industrie française, Paris, 1839. PF

n Bouchayer : Les Chartreux maîtres de forges, Grenoble, Didier Richard, 9 Grande rue à Grenoble, 1984, 245 p., Edition du Ive centenaire réimpression de l’édition de 1927.

Ø Boucard Daniel : Les haches, Jean-Cyrille Godefroy, 252 p. 1998.

Ø Boucard Daniel : Les outils taillants, Jean-Cyrille Godefroy, 282 p. 2000.

Ø Boucard Danel : Les outils de métiers, Jean-Cyrille Godefroy, 318 p. 2002.

Boucher Jules-François, dit Boucher fils : Quatre cahiers de serrurerie, grilles pour chapelles, grand balcon à la moderne, balcons plus simples, grandes grilles. A Paris, chez le Père et Avaulez, marchands d’estampes, rue St-Jacques, à la ville de Rouen. Anciennement coll. Foulc. Architecte et graveur, 1736-1781, cité par D. Guilmard.

Bouglon (Baron de) : Histoire de la ferronnerie toulousaine au XVIIIe siècle. PF

l Boyer A. : Le tour de France d’un compagnon du devoir, Paris 1957. (forgeron)

Ø Boyé Evelyne et Jean-Patrick : Enclumes et bigornes anciennes, Préface de Roger Verdier, Editions du cabinet d’expertises, 180 p. 2009. Deuxième édition

entièremnt refondue en 2011 avec une préface de Jean-Claude Péretz. En vente chez l'auteur: 51 rue de la Cité, 10.000 Troyes. Tél: 06 85 20 68 84.

Bourrud Charles : Les serruriers chalonnais de 1686 à 1790. T. XXXIV, 1^er fascicule, Mémoire de la société historique de Chalon, 1956. PF

Brandt Edgar : Galeries Edgar Brandt, catalogue des œuvres, Paris. PF

Brandt Edgar : L’art et le fer, conférence du 10 février 1922, Imprimerie nouvelle, 1922. PF

Braun et Feldwegwilhem : Schmiedecisen und Leich metal am Bau, Otto Mayer, Ravensburg, 1955. PF

Ø Bricard : Deux siècles d’histoire de la serrure, 76 p.

Bride Charles : Le «Vignole» du serrurier, cours de dessin linéaire appliqué à la serrurerie et à la construction du fer, Paris, T. Lefèvre, 1860.

Briseux Charles-Etienne : L’art de bien bâtir les maisons de campagne, Paris, chez  Prault père, 1743. Vingt-six planches de pièces de serrurerie représentatives du rocaille. Un article sur la serrurerie par rapport à la décoration. Repris dans l’ouvrage Dessins de menuiserie, de serrurerie, etc. propres à la décoration intérieure des appartements par le sieur Briseux, Paris, Guerinet, 1889. Traité du Beau essentiel dans les Arts, Paris, chez Chéreau, 1752 Quatre planches de serrurerie, rampes d’escalier.

Briseux : Dessins de menuiserie, de serrurerie par le Sr Briseux, Paris, A. Guérinet, s.d. (réimp. de l’ouvrage de 1743, sans doute deuxième moitié du XIXe.)

Brisville Hugues ou Briseville : Diverses pièces de serrurerie inventées par Hughes Brisville, maître-serrurier à Paris et gravez par Jean Berain, à Paris, chez N. Langlois, rue Saint-Jacques, A la Victoire, 1663. Réed. Quaritch’s Reprint, Londres, 1888. BN. Suite de 16 planches dédiées à M. Longuet, grand Audiencier de France. Comprend un portrait gravé de Brisville par Ladame, sur fond paysagé où se voient un balcon et une porte de jardin en fer ; une grille de château blasonnée et trois modèles de rampes.

l Brobeck Georges : Le serrurier, Eyrolles collection l’enseignement technique et professionnel, 1982, 10^ème édition. Intéressant.

Bruleaux (A.-M.) : Les maîtres-serruriers parisiens et leurs travaux de grande serrurerie (1715-1750), thèse de l’Ecole nationale des Chartes, Paris 1981. Compte rendu dans Positions des thèses soutenues par les élèves de la promotion de 1981 pour obtenir le diplôme d’archiviste-paléographe, 1981.

n Brunhes-Delamarre Mariel  et André Desvallées : A propos d’une enquête régionale sur l’artisanat, 6 p. extrait des Arts et traditions populaires n° 3 juillet septembre 1961, PUF 1961 Brunner Jean Josef : Der Schlüssel in Wandel der Zeit, Berne & Stuttgart, P. Haupt, 1988.

Brunner Jean-Josef : Les clefs, Editions Vial, 240 p. 2006.

Bruson Jean-Marie : Les grandes collections, le musée Carnavalet, dans Métiers d’Art, n° 18-19, 1982, p. 54-56.

Brutails (J. A) : La grille en fer forgé de l’église Sainte Eulalie à Bordeaux, Revue Philomatique de Bordeaux et du Sud-Ouest, 1908.

Bunevod Madeleine : Guide des portes et impostes lyonnaises, CRDP, Lyon 1980. PF

Ø Ì Burdina, burdingintza eta forjaketa tradizionala, Hierro, herreria y forja tradicional, Gipuzkoako foru aldundia, 126 p. 1989.

Ø Ì Burdinolak, Material didakdikoa, Gipuzkoako foru aldundia, Asociacion de amigos del museo de Legazpi, 18 p. ¦ Dibulgazio teknikoa, 34 p.

                      ¦ Haizeolas, Ferrerias primitivas, 34 p

Ë Bury et Hoyau : Modèles de serrurerie choisis parmi ce que Paris offre de plus remarquable accompagné des détails qui doivent en faciliter l’exécution et suivi d’un abrégé de l’art du serrurier… le tout accompagné d’exemples gravés géométriquement, Paris, Bance aîné, 1826, P 388.

Busson (B.) : Trésors de Rouen, le musée du fer forgé, L’Estampille, n° 53, mai 1974.

Butter (Françis J.) : Locks and Lock Making, Londres, 1926.

q Byrne Arthur et Stapley Wilfrid : Spanish interiors and furnitures, 2 vol. reliés, photos d’intérieurs et meubles espagnols, 699 BYN.

Byrne Arthur et Stapley Wilfrid :Rejeria of the Spanish Renaissance, Nueva York, 1914.

2010eko ekainaren 30ean

                   Ø   Ene bibliotekan

                   n   Bibliothèque du musée des ATP

                   m   Bibliothèque Forney à Paris

                   l    Autre bibliothèque

                   q   Bibliothèque des Compagnons à Paris

                   Ì   Euskal Herria

                   Ë  ou BAd :  Bibliothèque des Arts décoratifs à Paris

                    PF : Ouvrage indiqué dans la bibliographie de Philippe Faure, Fer d’art roman de 1000 à 1250, CRDP, Dijon. Manque de précision sur l’éditeur, le nombre de pages, parfois erreurs orthographiques. L’auteur indique parfois les cotes des ouvrages dans les bibliothèques.

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Cette bibliographie doit beaucoup au remarquable travail de Mme Marie-France Lacoue-Labarthe L’art du fer forgé en pays bordelais de Louis XIV à la Révolution, Société archéologique de Bordeaux, 367 p. 1993.

Clary Pierre : Modèles divers de serrurerie, 1614.

Ø Clavis : Chiavi, serrature, forzieri, dalla collezione Conforti, Franco Maria Ricci, 189 p. 1992.

Ø La clef et la serrure, catalogue de exposition Jacqueline Du Pasquier, Musée des Arts décoratifs de Bordeaux, 96 p., 1973.

Ø Clouzot Henry : Le fer forgé, documents artistiques de ferronnerie ancienne du moyen âge à la fin du XVIII^è, Ed. Albert Morancé, 320 p. 1953.

Clouzot Henry : Le travail du métal, Paris 1921.

Clouzot Henry : La ferronnerie moderne, C. Moreau, Paris, 1940.

Clouzot Henry : Histoire du fer, Laurens, Paris, 1934.

Clouzot Henry : Les Arts du métal : métaux précieux, le bronze, le cuivre, le fer, les armes, la parure, Laurens, Paris, 1934.

Clouzot Henri, Robert Emile, Dervaux Adolphe : Le fer et la fonte, dans les Arts français n° 18, 1918, p. 113-132.

Ø Codina Vialette Olivier, Blosh Casadevall Josep Maria, Vila Mur Antoni : La farga Rossell, El zenit de l’obtencio del ferro pel sistema directe, 1842/1876, Monografies del patrimoni cultural d’Andorrra, 218 p. 2001.

Codina O. : De laine et de fer, économie et sociétés des vallées andorranes de 1575 à 1875, thèse, université de Perpignan.

Codina O. : L’extraction du minerai de fer en Andorre aux XVIIe-XIXe siècles, les mines de la Collada dels Meners (altitude 2723 m), dans Les mines en Europe du Moyen Age au XXe siècle, colloque organisé par l’ICP et l’université de Paris 1, Paris janvier 2000.

Cogniat Raymond : Les portes et la ferronnerie, dans Arts et décorations, 1932.

Ë Collection Spitzer, antiquité, moyen-âge, renaissance, tome II : serrurerie, émaux, faïence, etc, Paris, Maison Quantin & Librairie Centrale, 1890-1892, 6 vol., P 335.

Collon Gevaert S. : Histoire des arts du métal en Belgique, 2 volumes, Bruxelles, 1951.

Côme Danielle : Le fer et la fonte à Nancy dans le décor architectural des façades entre 1894 et 1914, thèse, DES histoire, Faculté de Nancy, 1967. PF

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Ø Comte Hubert : Des outils et des hommes, une aventure humaine, la main et la matière, Jean Cyrille Godefroy, 156 p. 1997.

Ø Comte Hubert : Outils du monde, Editions de la Martinière, 354 p. 1997

Ø Comte Hubert : Les objets de la vie bourguignonne, Minerva, 125 p. 1999

Constant M.C. : La serrurerie dans le catalogue La rue de Lille, l’hôtel de Salm, Société  d’histoire et d’archéologie du VIIe arrondissement, Paris 1983.

q  Contet Frédéric: Documents de ferronnerie ancienne du XIIe au XVIIIe siècle, 7 vol. Paris, F. Contet, 1925, Documents de ferronnerie ancienne, 1A 9.1 224 aux ATP

            Epoques Louis XV et Louis XVI, 1^ère série, recueil composé de 40 planches contenant plus de 100 motifs d’après nature choisis  à Amiens, Bordeaux, Chartres, Paris, Rouen, Toulouse, Versailles , 1909 (photos de grilles, rampes et balcons).

            Epoque Louis XV et Louis XVI, 2^ème série, recueil composé de 40 planches contenant plus de 100 motifs choisis à Amiens, Bordeaux, Paris, Reims, Rouen, Tours, Versailles, Contet Paris 1925, 682 CON D

            Epoques Louis XV et Louis XVI, 3^è série, recueil composé de 44 planches contenant environ 80 motifs choisis à Compiègne, Dampierre, Dijon, Nancy, Paris, Reins, Sèvres, Sens, Tours, 2^ème édition, 1913, (photos de grilles et escaliers).

            Epoque Louis XV et Louis XVI, 4^ème série, recueil composé de 42 planches contenant 70 motifs choisis à Beaune, Beauvais, Bayeux, Caen, Dijon, Oisilly, Paris, Vaubadon, Versailles, 1912, (photos de grilles, balustrades).

            Documents de ferronnerie ancienne du XII^è au XVIII^è siècle, Recueil de 40 planches comprenant plus de 100 documents de ferronnerie monumentale et de serrurerie fine, tels que armatures de puits, balcons, grilles, pentures, rampes d’escalier, chandeliers en fer, chenets, coffrets, heurtoirs, targettes, ferrons. Ch. Moreau Paris 1939, 40 planches, 682 CON D

            Girard Joseph : Documents de ferronnerie ancienne du musée Calvet et dans divers hôtels d’Avignon, recueil de 42 pl., 6^e série de Contet, 1926, P456/C aux Arts décoratifs.

Ø Cordier Françoise et Reuliaux Daniel : Ouvrez la porte, la serrurerie décorative, Archives d’architecture moderne, 2005, 64 p.

Corbion Jacques : Le savoir… fer, glossaire du haut-fourneau, Edition association le savoir… fer, 4 tomes, 3440 p. 2003.

Coulibaly Elisée : Savoirs et savoir-faire des anciens métallurgistes d’Afrique (Burkina-Faso et Mali), 424 p. Editions Karthala.

Coulon (R.) : Ferronnerie bordelaise, Bulletin et Mémoires de la Société archéologique de Bordeaux, 1974-1975, Bordeaux 1978.

Coornaert Emile : Les compagnonnages en France, du Moyen-Age à nos jours, Paris, Editions ouvrières, 1966.

Cournault (Charles) : Jean Lamour, serrurier du roi Stanislas à Nancy, Paris, J. Rouan, 1866.

l Courtrivon (Marquis de) : voir Duhamel du Monceau.

Couturier Daniel, Petit Jacques et Jean-François : L’esprit de la  girouette, Editions Cheminements, 2007, 176 p.

Crépy Louis : Grilles et balcons publiés par Crépy le fils, rue Saint-Jacques près Saint-Yves, s.d. BN, Bruxelles, Coll. Lesoufaché. BA. Graveur et éditeur, aurait repris des pièces éditées par Guérard et Mariette.

Cresti Carlo : Firenze 1896-1915, la stagione del liberty, Uniedit. PF

Ë Creux René, About Jacques : Images dans le ciel, belles enseignes, Lausanne, éditions de Fontainemore, 1962, 272 p., XW 126

Ë Croix de chemin en Orléanais, ferronnerie sur le thème de la croix, 1980, catalogue d’exposition, BB 122/6

Ø Croix de fer forgé, histoire et inventaire, canton de St Julien en Sault et environs, Association culturelle d’étude et de mise en valeur du canton, 47 p. 1998.

Cuivrerie et serrurerie artistique en 1930, R. Garnier.

n Curtil Boyer Charles : L’histoire de la clef de l’époque romaine au XVIIIème, Editions Vilo, 1° B tch 223, à 109 euros en 2002 sur Chapitre.com Très belles photos, liste des musées européens, texte faible. Selon Feldman, beaucoup de faux.

Curtil Boyer Charles : Les clefs, dans Hommes d’aujourd’hui n°6 (1960), p. 73-75.

Cuvilliès François de, père : Livre de serrurerie nouvellement inventé par… gravé par Lespilliez, s.d. Coll Lesoufaché, BN. Architecte de la cour de Bavière, mais formé par R. de Cotte, deux suites de six pièces, entre 1745 et 1756. Très marqué par le style rococo germanique.